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▶ La gratuité des protections hygiéniques,et leur mise à disposition gratuite sur le lieu de travail ;
▶ Le dépistage, par la médecine du travail, de maladies telles que l’endométriose ;
▶ La suppression des jours de carence pour toutes et tous ;
▶ Reconnaître l’endométriose comme un handicap et une ALD (affection longue durée).
Permettre aux travailleuses d’être libres de leur corps et de leur choix:
▶ La gratuité des moyens de contraception ;
▶ La non-fermeture et la réouverture des centres IVG, des centres de santé sexuelle et des maternités ;
▶ L’inscription du droit à l’IVG dans la constitution (et non la liberté qui n’est pas suffisante pour garantir l’accès à l’IVG en termes de moyens) : cette lutte est gagnée !
▶ Faire respecter la réalisation du document unique d’évaluation des risques professionnels genrés (DUERP) ;
▶ La mise en place de sanctions pour toutes les entreprises et établissements qui n’ont pas de plan de prévention des violences sexistes et sexuelles et de dispositif de signalement négocié avec les syndicats ;
▶ Des droits pour protéger les victimes de violences conjugales : interdiction de licenciement, droit aux absences rémunérées pour faire ses démarches, droit à la mobilité géographique et fonctionnelle ;
▶ L’obligation de formation des professionnel·les, des ressources humaines, personnel encadrant, élu·es ;
▶ Des moyens pour les référent.es harcèlement/violence ;
▶ L’obligation d’une sensibilisation annuelle de tous.tes les salarié.es sur leur temps;
▶ L’obligation de mise en place de dispositifs de prévention pour les travailleur·euses les plus vulnérables et notamment les jeunes, les précaires, les travailleur·euses de nuit ou en milieu non mixte ;
▶ Un accès aux soins garanti avec le remboursement à 100 % des consultations en psychotraumatologie